Bonjour, qui êtes vous ?Bonjour, je m’appelle Julien, j’ai 19 ans (donc plus proche du jolie garçon que du pervers de 60 ans). Je suis étudiant à Evreux, dans l’Eure, en Normandie.
Qu’est-ce qui vous intéresse dans la vie ?J’aime beaucoup le cinéma et la musique qui s’en rapporte. En fait, j’aime beaucoup la musique en général. Je m’intéresse pas mal aux sciences, mes études s’y rapportant. J’aime aussi jouer à certains jeux vidéo, principalement ceux qui sont « cinématographiques ». Je lis un peu, j’adore l’univers des Comics.
Hors Dofus, comment vous occupez-vous par rapport à vos hobbies ?Les études prennent du temps donc je bosse pas mal. J’écoute pas mal de musique, ce qui est cool avec ça, c’est qu’on peut le faire en faisant autre chose. Fan de cinéma, j’imagine et j’écris des scénarii, ça prend pas mal de temps, surtout qu’il y a un temps énorme de recherche, ça apporte une certaine culture générale comme spécialisée, du 2 en 1. J’ai aussi un piano, mais je ne sais pas très bien m’en servir (rire).
J’adore sortir avec mes amis mais il n’y a pas grand chose à faire ici, au moins, j’ai de bons amis.
Parlez-nous un peu de vous dans le jeu.Comme vous avez pu le voir, je postule pour l’admission d’un Iop de cercle 37, ce qui n’est pas très glorieux. En fait, je peux vous dire sans surprise que c’est un nouveau personnage. Je préfère donc me concentrer sur un autre personnage, Typha, Sramette, elle est de cercle 152. C’est grâce à elle que j’ai connu le vrai plaisir d’une guilde à travers L’empreinte du Dragon où j’ai rencontré Rethol, un de vos membre. Elle a le reste du temps été membre d’une guilde d’ami IRL dont le meneur était Velux pour ceux qui connaissent, qui fait ses études encore avec moi. Ce personnage a été transféré sur Crocoburio avec le reste de mes amis. Je recommence donc sur Summens, si l’on peut dire, puisqu’il reste aussi l’un de mes premiers perso, Gormunn, un Xélor de cercle 87. J’ai deux autres personnages, une Zobale de cercle 1 nommée Alniva (histoire qu’elle soit crée, je la développerai quand le Iop sera très largement avancé) sur Summens et Clydd, un Enutrof de cercle 74 (le groupe n’avait pas de frappeur eau à l’époque) aussi sur Croco. Tout ça pour dire que ma seule expérience de jeu à peu près correct vient de ma Sramette.
Vous parlez de Rethol, c’est grâce à lui que vous nous avez découvert ?Non, à vrai dire, je pense qu’un joueur qui a un minimum jouer sur Summens connaît cette guilde. Mais ce qui m’a fait me tourner vers vous, c’est le fait que lui soit membre oui.
Pourquoi rejoindre Piwates des Kawaibes ?Je ne vais pas vous mentir, c’est parce que Rethol est membre. S’il était resté dans La Firme, j’aurais sûrement postulé là-bas. En fait, depuis que j’ai commencé ma vie « post Bac », j’ai eu envie de renouveau, vraiment. C’est la raison pour laquelle j’ai recommencé un personnage et que je recherche une nouvelle guilde. Rethol est la dernière personne que je connaisse sur Summens, rejouer avec lui était une idée sympa. Mon envie de renouveau me donne envie de rencontrer et jouer avec de nouvelles personnes, de partager du plaisir de jeu et je l’espère, de me retaper de gros fou rire. Mais je tiens à faire la part des choses, je ne postule pas ici pour rejoindre Rethol, je postule ici pour rejoindre une guilde tout entière, je souhaitais juste en rejoindre une où je retrouverais un bon ami. En fait, j’aimerais quitter ma petite barque solitaire perdue sur l’océan et rejoindre la grande caravelle.
Reste qu’à la lecture de vos demandes, je pense arriver (si l’on m’accepte) dans une guilde qui me plait, avec des gens plaisant. Le fait de pouvoir faire du RP me plait aussi beaucoup, un autre endroit où défouler mon imagination.
Je tiens à préciser une dernière chose, parce que je déteste qu’on le pense, je ne cherche pas de HL pour me faire faire des donjons Blop en boucle (je l’ai fait pour d’autres, je sais à quel point c’est lourd…). Je ne suis pas idiot, je me doute qu’au départ, je ne vous verrai pas souvent en donjon ou autres. Pour représenter ma pensée, je dirais que je veux plus rejoindre Piwates pour jouer avec Michel et Justine qu’avec Rokai et Pilouff (noms pris au hasard).
Pourquoi vous recrutez ?La question à 100 millions de dollars. Je pense que je suis intègre, sympa et convivial. Je ne suis pas prise de tête aussi, si quelqu’un rate un challenge en combat, ce n’est pas la mort. Reste que j’essaye au mieux de faire les choses bien, si l’on dit qu’on fait le challenge, alors on tente tout pour le réussir. J’aime l’entraide, dans les deux sens, reste que par mon niveau, il ne peut se faire que dans un seul et je déteste ça, j’essaierais donc de rectifier ce problème le plus vite possible. J’ai entendu dire qu’il y avait d’autre bas level dans la guilde, si c’est le cas, tant mieux, on pourra tenter des choses. Et puis… à *fais les yeux du chat potté*
Pensez-vous que le fait de vous présentez telle une interview peut faire croire à vos recruteurs que vous êtes prétentieux ?J’y ai pensé oui, et je peux leur dire que ce n’est absolument pas le cas. Je voulais juste taper dans l’originalité.
Vous écrivez des scénarii (scénario au pluriel), vous nous avez donc concoctez un RP digne j’imagine.En effet, j’espère que vous avez du temps devant vous, mon RP ressemble plus à quelque chose du genre un épisode de « Dofus : the animated serie » format 42 minutes qu’à autre chose.
Et bien merci pour votre tempsMerci de me laisser ma chance, j’espère vraiment embarquer chez Piwates des Kawaibes.
A suivre, le RP de Clyff
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Dans le monde des Douze, des créatures commettent des crimes particulièrement monstrueux. A Amakna, un Iop d’élite (hum hum…), appelé Clyff, tentent d’amener l’ordre et la sécurité, voici son histoire :
Clyff, au cœur de l’éternité
Mon père, Clydd, était un Enutrof travaillant comme architecte pour un puissant seigneur Xélor. Ce Xélor se prénommait Gormunn, une légende dit qu’il avait découvert les secrets du temps et de l’immortalité. Cette légende était relayée par le fait que ce Xélor était là depuis bien des temps, avant même que les jeunes aventuriers ne commencent leur aventure à Incarnam. Originaire de ce qui se fait connaître sous le nom du Berceau, il était très vicieux et avide d’argent (on dit qu’il était le fils d’un Sram aussi vieux que la foire du Trool et qu’il n’hérita de sa mère, que les bandelettes qui le recouvraient).
Un jour où je devais retrouver mon père à l’usine du Seigneur Gormunn, je produisis un accident terrible provoquant la semi-destruction de la machine que mettait au point le Xélor. Mon père fut renvoyé mais cela ne suffit pas au Xélor. L’accident lui avait en effet perdre près de 30 millions de kamas (à l’époque une énorme somme d’argent). Pour se venger, il décida de me retirer ce qu’aucun ne pourrait me rendre, une chose inestimable, du temps. Il me fit donc vieillir, une année par million de kamas perdu. La transformation fut terriblement douloureuse et m’affaiblit fortement. Bien que plusieurs grands Eniripsa se soient penchés sur le problème, aucun ne trouva de solutions.
Mon père, qui devait maintenant travailler dans les mines, engagea une Sramette pour veiller sur moi durant ma convalescence. Il était déjà dur avec moi étant jeune, mais il ne me pardonna jamais vraiment cet accident, qui détruisit en partie sa vie, et presque entièrement la mienne. Je ne m’accrochais qu’à mon amour naissant avec cette Sramette prénommée Typha. Elle faisait parti d’une grande guilde dans laquelle elle avait rencontré un ami et puissant allié, Rethol, un Ecaflip à l’esprit je dois dire, plus qu’aléatoire.
Cet amour devint réciproque et Typha resta avec moi et mon père lorsque sa guilde s’évinça. Celle-ci, comme la nature l’avait faite, était une voleuse particulièrement douée. Elle proposa à mon père, sans me le dire, de piquer toute la fortune du Xélor. Il n’aurait, selon ses paroles, « pas assez de temps à voler après ça… ». Le vol fut un succès et nous fûmes riches.
Nous étions alors sous la protection d’un groupe d’aventuriers puissants amis de longue date de Typha, le Féca Velux et sa famille, l’Osamoda Richetalpha ainsi qu’un autre Ecaflip, Lizbart. Malheureusement, ils quittèrent ce monde pour un autre. Typha, accrochée à moi, refusa de les suivre à leur grand damne.
Nous ne pouvions utiliser l’argent volé pour les suivre tous trois, nous aurions été repérés par les législateurs des transferts. Mais mon père, guidé par la peur de me voir mourir de vieillesse avant lui par vengeance de Gormunn, choisi le transfert clandestin et s’en remit à une mage Zobale, Alniva. Elle aussi était avide, mais avait des prix bien plus élevés. En effet, elle avait séduite mon père pour qu’il la choisisse elle, parmis d’autres, avant d’aller proposer un marché à Gormunn. Elle devait lui révéler notre position contre pas moins que l’éternité. Le Xélor accepta, guidé par son esprit malsain de pouvoir faire souffrir de nouveau ma famille sans même se soucier de savoir s’il était capable de satisfaire sa demande…
Le transfert fut un succès.
Le Seigneur Xélor construisit donc une machine dans le but de m’extraire à mon monde et de me faire revenir ici. Pendant ce temps, nous nous étions tranquillement installés, profitant de notre argent, organisant un superbe mariage pour Typha et moi en compagnie de ses amis et de mon père, enfin fière de moi. Mais le Xélor après bien des efforts et des échecs, réussi à ouvrir un portail, et avec l’aide d’ Alniva, à me ramener sur Summens. La puissance du portail était immense, aucun être vivant ne pouvais traverser, il aurait été anéanti, je ne pouvais repartir et ma famille ne pouvait me rejoindre. Je ressentais cette force en moi. Recouvert d’éclair et fou de la colère qui avait fait la renommée de mon Dieu, un seul coup au visage détruisit le masque de la Zobale et l’a mis hors course. Cependant, je ne pouvais rien face à Gormunn qui commença à me torturer avec ses aiguilles. Mon père et ma femme, qui pouvait percevoir mes cris, firent alors ma gloire. Mon père fit un Lancer de pièce, et Typha, qui avait apprise à dominer les airs, lança un sort Arnaque. La pièce de mon père traversa le portail et toucha miraculeusement l’œil du tortionnaire qui fut déstabilisé. L’Arnaque, elle, ne toucha pas le seigneur et les pièces s’étalèrent sur le sol. Je ne pouvais affronter le Xélor même handicapé, mais un souvenir me revint alors.
Le jour où je devais retrouver mon père à l’usine, un jeune Ecaflip présent m’avait parié qu’il me battrait à Pile ou face. J’avais relevé le défi. Je lançais alors la pièce qui eu la malchance à l’époque d’atterrir dans les mécanismes du monstre de métal conduisant à sa destruction. Après ce petit instant nostalgique de ma courte enfance, je me jetais sur le sol, ramassant les pièces de ma femme et les jetant dans les engrenages. La machine devint folle et son énergie commença à converger dans la pièce. Je compris que la surcharge aurait pour effet de détruire la salle, je me tournais alors vers le portail et dis à ma famille que je l’aimais et que j’étais désolé d’avoir été un tel fléau. Je ne pus entendre ni mon père dire qu’il était fier de moi ni le fracas des larmes de Typha sur le sol.
Un bruit sourd me fit me retourner avant la fin. Gormunn avait crée le plus puissant Cadran qu’il pouvait. Si je devais disparaître, cette ordure devait me suivre. Je bondis alors à ses cotés. Affaiblis par le bond et toujours borgne, je réussis à me jeter sur lui et à l’enlever de sa protection. J’étais sur lui et, par réflexe, il me repoussa. Cela eu pour effet de me pousser derrière le Cadran. Le portail explosa alors, je le vis happer le Seigneur qui subit les ravages de l’espace et du temps connaissant des sensations que la Douleur elle-même pourrait craindre. Le Cadran se brisa alors, et le portail disparu. J’avais perdu ma famille mais j’étais vivant et vengé.
La Zobale, qui s’en sorti in extremis grâce à sa Diffraction (qui ne pu néanmoins pas aider Gormunn), poussa alors un cri de terreur :
« Non ! Mon Immortalité ! Qu’as tu fais crétin de Iop ?! Tu viens de me voler mon Eternité ! »
Je lui répondis alors ceci : « L’Eternité n’est pas suffisante pour vivre à jamais… ».
Folle de rage, elle se jeta sur moi. Nous traversâmes la vitre et tombèrent du haut de ce qui semblait être une tour, sûrement la demeure du défunt Xélor.
Grâce à ma Concentration soutenue par ma Puissance, je pus lui donner un coup sévère. Elle tomba lourdement sur le toit de brique noire alors que je me rattrapais assez bien. J’attrapais sa main avant qu’elle ne chute dans ce qui semblait être un gouffre béant d’air. En effet, je remarquai à cet instant que le château flottait dans le ciel. Trop fière et trop orgueilleuse, elle mis son masque de classe, et lâcha ma main, tombant à travers les nuages.
Je rentrai dans le château vide de monde, et maintenant que son maître avait disparu, vide de sens. Je trouvai un téléporteur qui me ramena sur la terre ferme. J’entendis vite des rumeurs sur une femme tombée du ciel qui aurait survécue. Après tout, avec un peu de doigté, un bon Plastron aurait pu faire l’affaire…
Sans liens dans ce monde qui avait changé depuis mon départ, je me sentais seul. Je choisis de retrouver un vieil ami, Rethol, pour qu’il me guide à travers la contrée. Il me parla de son nouveau clan. Cela m’intrigua et m’intéressa beaucoup.
Je vis aujourd’hui paisiblement sur Summens, à craindre le retour d’Alniva, devenu ma rivale. Je me bats pour être sûr d’être toujours plus puissante qu’elle en espérant un jour, pouvoir revoir ma famille, qui me manque tant.